Des difficultés relationnelles peuvent justifier la non-réintégration anticipée d’un fonctionnaire en disponibilité
La cour administrative d’appel de Nancy vient de confirmer le refus de réintégration anticipée d’une fonctionnaire en disponibilité en raison de ses difficultés relationnelles, qui “mettaient à mal la cohésion de l’équipe”. Un motif tiré de l’intérêt de service qui justifiait cette non-réintégration, expliquent les juges.
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